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Par Canis Latrans dans Latrans poétique le 21 Juillet 2010 à 13:31Déjà la rue se vide derrière la vitre. Moi, je voudrais bien ouvrir des portes. Etat végétatif persistant sensible à toute affection douloureuse. Ruez, ruez, ruez et dites la vérité ! Peut plus mentir le monde rondement malmené. L'attente de l'explosion. Encore vide la vitre...